Scénographie

DESIGN GENERATIONS // BRUXELLES // DESIGNMUSEUM
Intersections // Design Generations
LA SCÉNOGRAPHIE
Cette proposition explore l’opposition entre la boîte noire et la feuille blanche, entre l’empirisme et la création pure. Comment naît une forme dans la main du designer ? Quel stimulus déclenche la rencontre entre créateur et éditeur ?
Un parcours immersif retrace l’univers de 10 designers au ADAM – Brussels Design Museum, structuré comme un voyage linéaire et ponctué de 30 créations. Cette ligne narrative, fil rouge et support de tension visuelle, évite toute dispersion, offrant une découverte progressive des œuvres.
Les boîtes noires incarnent des cerveaux humains, connectés entre eux par une installation lumineuse évoquant des veines, avec des flux sanguins symbolisant les échanges d’idées et d’émotions entre les designers. Ces connexions amplifient l’immersion, transformant l’espace en un réseau vivant et organique.
Des découpes ingénieuses deviennent supports pour les objets et niches pour une vingtaine d’écrans. Grâce à des loupes équipées d’un film polarisant, les visiteurs dévoilent le contenu des écrans dépolarisés. Ce dispositif crée un dialogue visuel surréaliste entre les objets et les vidéos, remplaçant les présentations muséales classiques.
Ce parcours immersif associe technologies numériques et interactivité, permettant à chacun de découvrir à son rythme une expérience mémorable et innovante. Il invite à réfléchir, de manière ludique, sur les émotions transmises par les objets designés et leur mise sur le marché.




DESIGN GENERATIONS // BRUXELLES // DESIGNMUSEUM // 2
(suite)




Quelles utopies pour la ville contemporaine ?
Quelles utopies pour la ville contemporaine ?
En réponse à l’appel à contribution transdisciplinaire de l’ICA, notre collectif LaboM Subwayarchitecture (Scénographie) + Soy (son) + Superbe (interractivité) a conçu une maquette et une scénographie interactive et adaptative, évoluant au gré des réactions des visiteurs.
Cette installation symbolisait les utopies urbaines, un espace où architecture, art et réflexion collective









EXPO // FEMMES EN COLERE // LIEGE
Extrait du Vers l’avenir du 30-01-2016 à 05h00
« Femmes en colère » : l’expo
La chaleur intense du grand hall à la FN, des courroies par milliers, de la limaille partout… « Ça puait l’huile, les eaux blanches, une odeur très caractéristique », témoigne une ancienne ouvrière.
L’exposition Femmes en colère, organisée par la FGTB et la CSC Liège Huy-Waremme, retrace les conditions de travail qui ont mené au conflit de 1966. Elle tente aussi d’immerger le visiteur dans ces années charnière, par l’image, le son et diverses mises en situation.
La grève des femmes occupe une première zone. En second parcours, les organisateurs ont choisi de prolonger la ligne du temps bien au-delà de 1966. On enchaîne avec les combats qui ont suivi, jusqu’à aujourd’hui. Après un demi-siècle, autant dire que les discriminations envers les femmes ne sont pas une affaire classée.
Publié le 30-01-2016 à 05h00




SPARKOH !
Site: “SPARLOH”
Concours remporté pour la scénographie d’un nouveau module didactique parlant des nouvelles énergie et surtout des nouvelles techniques pour les emmagasiner.
Projet en stand-by





CONCOURS BIENNALE DE VENISE // VENISE
L’évolution du rôle de l’architecte et sa liberté d’action et de création au regard des nouvelles technologies et des nouveaux outils numériques en pleine expansion.
À l’heure où l’intelligence artificielle tend
à occuper une place prépondérante dans l’évolution de notre rapport au monde
et au travail, notamment en matière de création, on peut se demander aujourd’hui quelle place et quels choix l’architecte sera libre de poser dans un futur plus ou moins proche. Aujourd’hui, des contenus formatés, alimentés par les miettes de cookies que nous déposons au gré de nos pérégrinations sur la toile, nous sont imposés.
En poussant la réflexion, on peut imaginer qu’un jour un site web ou un logiciel automatisé nous propose une maison dessinée pour nous par une IA nourrie de toutes les informations disponibles nous concernant (nos goûts, l’endroit où on habite, nos capacités à réaliser certains postes,
nos couleurs ou matériaux préférés, nos habitudes en termes de mobilité, nos données financières…). Mais quelle place resterait-il alors pour la créativité de l’architecte ?
Scénographie
Nous souhaitions questionner l’évolution du rôle de l’architecte et sa liberté d’action et de création au regard des nouvelles technologies et des nouveaux outils numériques en pleine expansion.
Ce concept invitait à une expérience poétique immersive sur cette projection à la fois dystopique et réaliste en proposant un espace évolutif. Au gré des déambulations du public, une feuille dichroïque géante se formait et se déformait tout en redessinant en permanence l’espace et le parcours possible dans le pavillon. Selon le point de vue et la lumière, ce relief en constante évolution changeait de couleur et le point de vue ne peut jamais être retrouvé, puisqu’il se déplacait tout le temps, échappant à notre contrôle.
Production
Nous proposions une structure autoportante sur laquelle étaient fixés des moteurs permettant d’élever et de descendre des points de la feuilles géantes. Cette feuille était composée en matière dichroïque et changait donc de couleur en fonction des reflets de la lumière.
Dans les pièces à gauche et à droite de l’espace central, nous disposions des haut- parleurs qui diffusaient les bruits amplifiés provoqués par la déformation de cette feuille. Il s’agissait donc d’une stéréo accessible uniquement par un seul côté à la fois.
Nous souhaitions mettre en évidence les dérives d’un monde contrôlé par
les algorithmes en y opposant une résistance poétique symbolisée par cette vague géante.




OAFTER // LE PAVILLON // NAMUR
Petite reconversion de notre mobilier dessiné pour le Kikk festival pour la soirée de l’Ordre des Architectes ” OAFTER” et scénographie réalisée pour présenter les œuvres d’architectes ayant d’autres passions secrètes.




FORUM MONDIAL DE LA LANGUE FRANÇAISE À LIÈGE
FORUM MONDIAL DE LA LANGUE FRANÇAISE À LIÈGE EN JUILLET 2015
Liège a accueilli, en juillet 2015, le 2e Forum mondial de la langue française, avec pour principal objectif : présenter la créativité en tant que moteur de l’innovation francophone. Ce forum a réuni plus de 1200 participants provenant de 90 pays.
Nous avons été chargé par l’agence Cible afin de réaliser la scénographie urbaine de cet évènement de la Fédération Wallonie-Bruxelles en trouvant simplement une astuce pour relier tout les bâtiments participants à l’évènement.
Un fil conducteur en quelques sortes… parfois le 1° degré est très efficace.
Des milliers de participants ont convergé depuis les 4 coins de la Francophonie pour prendre part à un programme d’activités et de festivités riche en couleurs et en créativité !
– Des démos interactives pour tester quelques-uns des logiciels développés par le Centre de traitement automatique du
langage (CENTAL) de l’Université de Louvain-la-Neuve (Belgique) ;
– Une bibliothèque pour découvrir les publications du Service de la langue française ;
– 22 jeux linguistiques en ligne pour s’amuser à (ré)inventer la langue française ;
– Des expos numériques pour voir la langue française sous des jours nouveaux.
La mise en œuvre de + 6000 mètres de fil rouge dans Liège n’était pas si simple.
Imaginez-vous en train de débobiner sans cesse une grosse bobine de fil rouge en passant aux travers des rues et des bâtiments, créant des distorsions pour marquer les endroits clés du forum.
Pendant quatre jours, le centre-ville de Liège accueillait les participants du Forum, au Théâtre de Liège, à la Cité Miroir et au Forum de Liège, entre autres.
Pour le visiteur X venant des 4 coins de la planète c’était très simple car il suffisait de suivre le fil rouge pour voyager d’un évènement à l’autre dans Liège.



